2024-11-05,12:26
Aides Neptune et TANPR:
Postulats :
Le trait « Golfe Juan Bourges Cherbourg » est tracé au début de cette énigme à l’initiative du chercheur. L’alignement est suffisamment remarquable pour ne pas passer inaperçu.
L’énigme emploi nombre d’expressions et termes anciens surannées pour faire suspecter une temporalité particulière nécessaire la bonne compréhension de cette énigme. Le camouflage (plus que cryptage) de Cherbourg sous son appellation de CARUSBURC datant du XIème siècle permet de préciser le contexte historique de sa résolution.
Départ :
Zarquos s’appuie sur le cahier des charges initial pour établir que le point de départ depuis Cherbourg serait localisé sur le bassin Charles X. Cette idée m’a traversé l’esprit mais l’identification du Bassin Charles X ne m’apparaît pas possible dans la version finale sur laquelle nous avons travaillée *
En tous cas, personnellement je n’ai pas trouvé d’indice dans la version finale qui me permette de cibler aussi précisément ce lieu comme point de départ. Par contre, ce bassin se trouve bien intégré dans « le port maritime de Cherbourg ». Comme je l’ai précisé, se tenir « Dos à Albion » en se tenant prêt à marcher sur les eaux car nous serons secourus par NEPTUNE sont, des indications suffisantes pour logiquement nous inciter à nous situer à Cherbourg en bordure de mer. Si l’on doit se tenir prêt à s’embarquer autant logiquement se positionner sur son port maritime.
Le Port Maritime de Cherbourg me parait localisable en 560 au vu des indices de la version définitive et se trouve conforté par l’information figurant dans le cahier des charges initial évoquant le bassin Charles X..
*La prise en compte d’informations contenues dans le Cahier Des Charges doit trouver à s’intégrer dans nos solutions et je m’y emploi. Mais c’est la version finale des énigmes qui doit permettre leur intégration et pas l’inverse.
L’utilisation de l’astuce du Septentrion « Glacé » Je positionne une glace (un miroir) dos au septentrion côté nord du visuel. Cette astuce est confortée par l’inversion des consignes dans le cahier des charges initiale et la non reprise dans le texte initial du terme « glacé ».
La simple application du calque inversé vient s’appuyer sur la diagonale préalablement tracée (Cherbourg bourges Golfe Juan) et fourni la direction prise par Neptune celle du tracé par le crayon du visuel.
Cette direction qui affleure la pointe de Granville traverse l’ile de Ré sur la carte 989 et abouti à Roncevaux . Elle évite la trahison de l'aiguille qui pointe Hernani.
La traversée de l’ile de Ré dans le contexte historique du XIème siècle n’est pas un problème pour Neptune, à cette époque, l’ile est fractionnée en 4 ilots séparés et ne fait pas obstacle à la progression maritime de Neptune.. Inutile de se procurer une carte ancienne la simple connaissance de cette situation de l’ile de Ré au XIème siècle suffit à le comprendre. On reste dans le cadre du « raisonnablement précis » lorsque l’on trace ce parcours.
TANPR :
L’énigme nous demande de chercher l’ouverture qui révèle la lumière céleste et de ne pas s’attarder (j’ignore volontaire « ne demande pas ton reste » qui pour moi n’est pas qu’une simple répétition mais ce n’est pas le sujet).
Cette formulation rappelle celle de l’énigme précédente qui nous demande de se hâter pour trouver la flèche.
La flèche qu’il fallait se hâter de trouver intégrait la vitesse de la lumière dans le calcul de distance et se traduisait par un trait de 55,9cms.
En 560 je comprends qu’ il nous est donc demandé d’aller aussi vite et aussi loin ! j’interromps donc mon trait représentant le second parcours de Neptune à 55.9cms en direction de Roncevaux et je regarde par l’ouverture pour voir la lumière qui est révélée.
Le TANPR tracé jusqu’au lieu de ma nef encalminée mesure 74cms. Je ne regrette pas ce que j’ai fait (tirer un trait). En 650 ce « pas » déjà rencontré traduit en mesure planétaire sera utile pour trouver les sentinelles.
Cordialement,
Ockham.
Postulats :
Le trait « Golfe Juan Bourges Cherbourg » est tracé au début de cette énigme à l’initiative du chercheur. L’alignement est suffisamment remarquable pour ne pas passer inaperçu.
L’énigme emploi nombre d’expressions et termes anciens surannées pour faire suspecter une temporalité particulière nécessaire la bonne compréhension de cette énigme. Le camouflage (plus que cryptage) de Cherbourg sous son appellation de CARUSBURC datant du XIème siècle permet de préciser le contexte historique de sa résolution.
Départ :
Zarquos s’appuie sur le cahier des charges initial pour établir que le point de départ depuis Cherbourg serait localisé sur le bassin Charles X. Cette idée m’a traversé l’esprit mais l’identification du Bassin Charles X ne m’apparaît pas possible dans la version finale sur laquelle nous avons travaillée *
En tous cas, personnellement je n’ai pas trouvé d’indice dans la version finale qui me permette de cibler aussi précisément ce lieu comme point de départ. Par contre, ce bassin se trouve bien intégré dans « le port maritime de Cherbourg ». Comme je l’ai précisé, se tenir « Dos à Albion » en se tenant prêt à marcher sur les eaux car nous serons secourus par NEPTUNE sont, des indications suffisantes pour logiquement nous inciter à nous situer à Cherbourg en bordure de mer. Si l’on doit se tenir prêt à s’embarquer autant logiquement se positionner sur son port maritime.
Le Port Maritime de Cherbourg me parait localisable en 560 au vu des indices de la version définitive et se trouve conforté par l’information figurant dans le cahier des charges initial évoquant le bassin Charles X..
*La prise en compte d’informations contenues dans le Cahier Des Charges doit trouver à s’intégrer dans nos solutions et je m’y emploi. Mais c’est la version finale des énigmes qui doit permettre leur intégration et pas l’inverse.
L’utilisation de l’astuce du Septentrion « Glacé » Je positionne une glace (un miroir) dos au septentrion côté nord du visuel. Cette astuce est confortée par l’inversion des consignes dans le cahier des charges initiale et la non reprise dans le texte initial du terme « glacé ».
La simple application du calque inversé vient s’appuyer sur la diagonale préalablement tracée (Cherbourg bourges Golfe Juan) et fourni la direction prise par Neptune celle du tracé par le crayon du visuel.
Cette direction qui affleure la pointe de Granville traverse l’ile de Ré sur la carte 989 et abouti à Roncevaux . Elle évite la trahison de l'aiguille qui pointe Hernani.
La traversée de l’ile de Ré dans le contexte historique du XIème siècle n’est pas un problème pour Neptune, à cette époque, l’ile est fractionnée en 4 ilots séparés et ne fait pas obstacle à la progression maritime de Neptune.. Inutile de se procurer une carte ancienne la simple connaissance de cette situation de l’ile de Ré au XIème siècle suffit à le comprendre. On reste dans le cadre du « raisonnablement précis » lorsque l’on trace ce parcours.
TANPR :
L’énigme nous demande de chercher l’ouverture qui révèle la lumière céleste et de ne pas s’attarder (j’ignore volontaire « ne demande pas ton reste » qui pour moi n’est pas qu’une simple répétition mais ce n’est pas le sujet).
Cette formulation rappelle celle de l’énigme précédente qui nous demande de se hâter pour trouver la flèche.
La flèche qu’il fallait se hâter de trouver intégrait la vitesse de la lumière dans le calcul de distance et se traduisait par un trait de 55,9cms.
En 560 je comprends qu’ il nous est donc demandé d’aller aussi vite et aussi loin ! j’interromps donc mon trait représentant le second parcours de Neptune à 55.9cms en direction de Roncevaux et je regarde par l’ouverture pour voir la lumière qui est révélée.
Le TANPR tracé jusqu’au lieu de ma nef encalminée mesure 74cms. Je ne regrette pas ce que j’ai fait (tirer un trait). En 650 ce « pas » déjà rencontré traduit en mesure planétaire sera utile pour trouver les sentinelles.
Cordialement,
Ockham.