2024-11-02,00:09
Bonjour. Quel plaisir de pouvoir re-chouetter sur ce forum, merci zarquos !
Je suis resté convaincu par la mesure planétaire dans la 420, et je suis d'accord avec ce que dit Ockham : le dieu principalement mis en avant dans l'énigme (Apollon) n'est pas celui qui définit la mesure. C'est le dieu absent mais recherché (Mercure) qui la définit.
Or dans la 560, on nous dit de chercher "l'ouverture qui révèle la lumière céleste". L'ouverture pourrait être celle d'un télescope, permettant de révéler la lumière du CIEL. Le ciel, c'est le dieu Ouranos, autrement dit Uranus, et la planète Uranus est la première à avoir été découverte grâce à un télescope (par William Herschel, en 1781). Je pense donc qu'on doit marcher sur les eaux en suivant la mesure du "ciel", c'est-à-dire en utilisant un pied uranien de 122,1 cm (NB : j'aime bien la suite de chiffres 1221, que peuvent évoquer les rimes embrassées de la première strophe).
Il reste à déterminer la distance maritime à parcourir. Je pense qu'il s'agit de vingt lieues, en référence à "vingt mille lieues sous les mers" (où la lieue est de 4 kilomètres, soit 12 000 pieds). Donc 240 000 pieds, ce qui ferait environ 293 km. Si, de Cherbourg, on vise Hernani et si on s'arrête lorsque le total des deux aides de Neptune fait 293 km, alors on se trouve sur l'alignement Laredo-Bourges-Metz.
Amicalement,
Galag
Je suis resté convaincu par la mesure planétaire dans la 420, et je suis d'accord avec ce que dit Ockham : le dieu principalement mis en avant dans l'énigme (Apollon) n'est pas celui qui définit la mesure. C'est le dieu absent mais recherché (Mercure) qui la définit.
Or dans la 560, on nous dit de chercher "l'ouverture qui révèle la lumière céleste". L'ouverture pourrait être celle d'un télescope, permettant de révéler la lumière du CIEL. Le ciel, c'est le dieu Ouranos, autrement dit Uranus, et la planète Uranus est la première à avoir été découverte grâce à un télescope (par William Herschel, en 1781). Je pense donc qu'on doit marcher sur les eaux en suivant la mesure du "ciel", c'est-à-dire en utilisant un pied uranien de 122,1 cm (NB : j'aime bien la suite de chiffres 1221, que peuvent évoquer les rimes embrassées de la première strophe).
Il reste à déterminer la distance maritime à parcourir. Je pense qu'il s'agit de vingt lieues, en référence à "vingt mille lieues sous les mers" (où la lieue est de 4 kilomètres, soit 12 000 pieds). Donc 240 000 pieds, ce qui ferait environ 293 km. Si, de Cherbourg, on vise Hernani et si on s'arrête lorsque le total des deux aides de Neptune fait 293 km, alors on se trouve sur l'alignement Laredo-Bourges-Metz.
Amicalement,
Galag