Bonjour Zarquos,
Je suis d'accord avec toi concernant le deuxième point, à savoir que le "là" est bien la fin de la 560 et le début de la 650.
Par contre, dans les madits que tu cites au sujet du premier point indiquent que la dernière chose à faire en 560, c'est bien TROUVER la nef et tracer le trait jusqu'à elle, pas forcément s'y rendre.
Là où depuis le début des énigmes, le déplacement du chercheur est explicite : soit des verbes de mouvement, soit des points de départ ou d'arrivée, le tracé du trait n'entraine pas une notion de déplacement, à moins de l'interpréter dans ce sens.
Pour l'exemple, si l'énigme me dit de me déplacer d'un point quelconque dans Paris dans une direction jusqu'à trouver la tour eiffel, puis de tracer un trait sur ma carte de Paris, du là où je suis jusqu'au monument, je termine l'énigme quelque part, mais probablement pas au pied de la tour Eiffel.
Je suis d'accord avec toi concernant le deuxième point, à savoir que le "là" est bien la fin de la 560 et le début de la 650.
Par contre, dans les madits que tu cites au sujet du premier point indiquent que la dernière chose à faire en 560, c'est bien TROUVER la nef et tracer le trait jusqu'à elle, pas forcément s'y rendre.
Là où depuis le début des énigmes, le déplacement du chercheur est explicite : soit des verbes de mouvement, soit des points de départ ou d'arrivée, le tracé du trait n'entraine pas une notion de déplacement, à moins de l'interpréter dans ce sens.
Pour l'exemple, si l'énigme me dit de me déplacer d'un point quelconque dans Paris dans une direction jusqu'à trouver la tour eiffel, puis de tracer un trait sur ma carte de Paris, du là où je suis jusqu'au monument, je termine l'énigme quelque part, mais probablement pas au pied de la tour Eiffel.