420
Pour décoder le texte on va utiliser des données astronomiques, que l'on trouve dans l'Encyclopédie Bordas tome 2 ASTRONOMIE :
On utilise l'initiale du nom de la planète et sa période de révolution autour du Soleil en jours :
T = 365
M = 687
J = 4330
S = 10752
U = 30667
N = 60140
P = 90677
On obtient :
C'EST LA QUE L'AIGLE IMPRIMA LA MARQUE DE SES SERRES DANS LE SABLE, CENT JOURS AVANT DE SE CASSER LE BEC ET Y LAISSER SES PLUMES
Le texte est relatif aux Cent-Jours, allant du 1er mars au 22 juin 1815, durant lesquels Napoléon, l'Aigle, est de retour en France après son exil sur l'île d'Elbe.
La période du 1er au 20 mars, qui correspond à la reconquête du pouvoir par Napoléon, est surnommée « le vol de l'Aigle ».
Napoléon débarque le 1er mars 1815 à Golfe-Juan.
Sur la stèle présente sur place, on voit l'Aigle en train d'imprimer la marque de ses serres, le sable étant une allusion à la plage de Golfe-Juan :
Le texte décodé est une licence poétique, l'Aigle s'est cassé le bec le 18 juin à Waterloo et il a laissé ses plumes le 22 juin à Paris lors de la seconde abdication de Napoléon.
Sur le visuel les planètes sont présentes sous la forme de leurs symboles, seules Vénus et Mercure sont manquantes (il y en a donc 7 car Pluton était encore une planète à l'époque), elles sont dans l'ordre et semblent tourner autour de ce qui pourrait être une représentation du Soleil :
Le compas est planté dans le N de Napoléon :
C'est une incitation à prendre Golfe-Juan, où a débarqué Napoléon, en point fixe.
L'autre branche du compas semble être entraînée dans un mouvement de rotation sur le visuel.
La suite du texte donne l'explication : « Alors prête un arc à Apollon ».
Nous avons rencontré Mercure dans l'énigme précédente, le dieu des voleurs entre autres choses, qui avait subtilisé l'arc d'Apollon et le trident de Neptune.
Ces dieux vont venir à notre en aide en échange de leur matériel que nous possédons de façon symbolique.
Et nous rendons donc à Apollon son arc pour qu'il puisse décocher une flèche.
La sémantique nous met sur la voie avec « A Carignan emprunte » et « prête » dans cette énigme.
Mais bien sûr l'arc d'Apollon a une seconde interprétation cartographique qui consiste à tracer un arc de cercle sur la carte de France.
Comme il s'agit de l'arc d'Apollon, le dieu de la lumière et de la vérité entre autres choses, il possède des propriétés supplémentaires : l'arc est lumineux et révélateur de la vérité, mais aussi éphémère (ce n'est pas un trait permanent sur la carte) donc il va falloir se hâter.
La fin du texte :
« De là, il comptera 1969,697 mesures vers le zénith.
En une 46 241 860ème fraction de jour sidéral,
son trait s'abattra.
Hâte-toi de trouver la flèche. »
Dans cette énigme nous sommes enfin en mesure d'utiliser la mesure planétaire, les données astronomiques nous mettant sur la voie.
Mercure est la planète de référence :
- C'est la planète qui doit son nom au dieu Mercure.
- Dans l'Antiquité Mercure était nommée Hermès (Mercure en étoile du soir) et... Apollon (Mercure en étoile du matin).
- La planète Mercure est cachée dans cette énigme.
1969,697 * 0,33 m * 0,38 = 247,0000038 m.
Magie de la calculette à affichage à 8 chiffres : le résultat affiche 247 tout rond !
Vers le zénith signifie simplement « vers le ciel, très haut ».
La flèche va donc s'élever de 247 m au point d'arrivée, par rapport au point de départ.
Le jour sidéral vaut 86164 s, et la flèche étant envoyée par Apollon elle se déplace à la vitesse de la lumière, soit 300 000 km/s.
La distance parcourue par la flèche est donc (86164 s / 46 241 860) * 300 000 km/s = 559,0000056 km.
Comme on travaille à plat sur la carte, l'arc de cercle que l'on trace provisoirement a un rayon de 559 km.
L'arc de cercle croise les 2 traits répertoriés dans l'énigme 470, le trait n°2 est coupé au point M et le trait n°1 est coupé au point N.
Le point M correspond à Saint-Nicolas-de-Port (SNDP) :
C'est le point de chute de la flèche d'Apollon.
La flèche est partie de Golfe-Juan, de la plage donc au niveau de la mer, elle s'élève puis se rabat à une altitude de 0 + 247 m = 247 m.
247 m est l'altitude moyenne de SNDP (min 201 m et max 292 m).
Le point N correspond à un point sur l'Autoroute du Soleil, la lumière vue en 470.
La lumière du jeu est un concept qui intervient dans les énigmes où le mot « lumière » figure (470, 420 et 560), on commence à en avoir une idée dans la 470 car la vision de la lumière est en direction de l'Autoroute du Soleil et que dans la 530 le coq symbole solaire apporte un indice, mais la confirmation vient dans la 420.
Le titre de l'énigme DU CIEL VIENT LA LUMIERE a une double interprétation :
- La lumière de la flèche d'Apollon vient du ciel puisqu'elle monte et descend dans le ciel.
- La lumière de la 470 vient du Soleil, c'est une façon de dire que la confirmation de la lumière intervient dans cette énigme.
Le blason de SNDP confirme notre décryptage :
Le navire noir comme dans la 600 confirme que nous sommes sur la bonne voie, de la même façon que le blason de Carignan confirmait le bon chemin.
L'alérion, qui est un aigle sans bec (et sans pattes) fait écho au texte décodé dans lequel l'Aigle s'est cassé le bec.
SNDP est célèbre pour sa basilique dédiée à Saint Nicolas, qui est le patron de la Lorraine.
La carte de France à la fin de l'énigme 420 :
Solution de l'énigme :
- La flèche d'Apollon démarre de Golfe-Juan et se plante à Saint-Nicolas-de-Port.
- La lumière de la 470 est confirmée : il s'agit (d'un point sur) l'Autoroute du Soleil.
- Saint-Nicolas le patron de la Lorraine.
Astuce liée à la mesure :
La mesure planétaire.
Cette astuce est enfin maîtrisée à ce stade du jeu.
Nous avons maintenant utilisé Mercure en plus de la Terre.
Pour décoder le texte on va utiliser des données astronomiques, que l'on trouve dans l'Encyclopédie Bordas tome 2 ASTRONOMIE :
On utilise l'initiale du nom de la planète et sa période de révolution autour du Soleil en jours :
T = 365
M = 687
J = 4330
S = 10752
U = 30667
N = 60140
P = 90677
On obtient :
C'EST LA QUE L'AIGLE IMPRIMA LA MARQUE DE SES SERRES DANS LE SABLE, CENT JOURS AVANT DE SE CASSER LE BEC ET Y LAISSER SES PLUMES
Le texte est relatif aux Cent-Jours, allant du 1er mars au 22 juin 1815, durant lesquels Napoléon, l'Aigle, est de retour en France après son exil sur l'île d'Elbe.
La période du 1er au 20 mars, qui correspond à la reconquête du pouvoir par Napoléon, est surnommée « le vol de l'Aigle ».
Napoléon débarque le 1er mars 1815 à Golfe-Juan.
Sur la stèle présente sur place, on voit l'Aigle en train d'imprimer la marque de ses serres, le sable étant une allusion à la plage de Golfe-Juan :
Le texte décodé est une licence poétique, l'Aigle s'est cassé le bec le 18 juin à Waterloo et il a laissé ses plumes le 22 juin à Paris lors de la seconde abdication de Napoléon.
Sur le visuel les planètes sont présentes sous la forme de leurs symboles, seules Vénus et Mercure sont manquantes (il y en a donc 7 car Pluton était encore une planète à l'époque), elles sont dans l'ordre et semblent tourner autour de ce qui pourrait être une représentation du Soleil :
Le compas est planté dans le N de Napoléon :
C'est une incitation à prendre Golfe-Juan, où a débarqué Napoléon, en point fixe.
L'autre branche du compas semble être entraînée dans un mouvement de rotation sur le visuel.
La suite du texte donne l'explication : « Alors prête un arc à Apollon ».
Nous avons rencontré Mercure dans l'énigme précédente, le dieu des voleurs entre autres choses, qui avait subtilisé l'arc d'Apollon et le trident de Neptune.
Ces dieux vont venir à notre en aide en échange de leur matériel que nous possédons de façon symbolique.
Et nous rendons donc à Apollon son arc pour qu'il puisse décocher une flèche.
La sémantique nous met sur la voie avec « A Carignan emprunte » et « prête » dans cette énigme.
Mais bien sûr l'arc d'Apollon a une seconde interprétation cartographique qui consiste à tracer un arc de cercle sur la carte de France.
Comme il s'agit de l'arc d'Apollon, le dieu de la lumière et de la vérité entre autres choses, il possède des propriétés supplémentaires : l'arc est lumineux et révélateur de la vérité, mais aussi éphémère (ce n'est pas un trait permanent sur la carte) donc il va falloir se hâter.
La fin du texte :
« De là, il comptera 1969,697 mesures vers le zénith.
En une 46 241 860ème fraction de jour sidéral,
son trait s'abattra.
Hâte-toi de trouver la flèche. »
Dans cette énigme nous sommes enfin en mesure d'utiliser la mesure planétaire, les données astronomiques nous mettant sur la voie.
Mercure est la planète de référence :
- C'est la planète qui doit son nom au dieu Mercure.
- Dans l'Antiquité Mercure était nommée Hermès (Mercure en étoile du soir) et... Apollon (Mercure en étoile du matin).
- La planète Mercure est cachée dans cette énigme.
1969,697 * 0,33 m * 0,38 = 247,0000038 m.
Magie de la calculette à affichage à 8 chiffres : le résultat affiche 247 tout rond !
Vers le zénith signifie simplement « vers le ciel, très haut ».
La flèche va donc s'élever de 247 m au point d'arrivée, par rapport au point de départ.
Le jour sidéral vaut 86164 s, et la flèche étant envoyée par Apollon elle se déplace à la vitesse de la lumière, soit 300 000 km/s.
La distance parcourue par la flèche est donc (86164 s / 46 241 860) * 300 000 km/s = 559,0000056 km.
Comme on travaille à plat sur la carte, l'arc de cercle que l'on trace provisoirement a un rayon de 559 km.
L'arc de cercle croise les 2 traits répertoriés dans l'énigme 470, le trait n°2 est coupé au point M et le trait n°1 est coupé au point N.
Le point M correspond à Saint-Nicolas-de-Port (SNDP) :
C'est le point de chute de la flèche d'Apollon.
La flèche est partie de Golfe-Juan, de la plage donc au niveau de la mer, elle s'élève puis se rabat à une altitude de 0 + 247 m = 247 m.
247 m est l'altitude moyenne de SNDP (min 201 m et max 292 m).
Le point N correspond à un point sur l'Autoroute du Soleil, la lumière vue en 470.
La lumière du jeu est un concept qui intervient dans les énigmes où le mot « lumière » figure (470, 420 et 560), on commence à en avoir une idée dans la 470 car la vision de la lumière est en direction de l'Autoroute du Soleil et que dans la 530 le coq symbole solaire apporte un indice, mais la confirmation vient dans la 420.
Le titre de l'énigme DU CIEL VIENT LA LUMIERE a une double interprétation :
- La lumière de la flèche d'Apollon vient du ciel puisqu'elle monte et descend dans le ciel.
- La lumière de la 470 vient du Soleil, c'est une façon de dire que la confirmation de la lumière intervient dans cette énigme.
Le blason de SNDP confirme notre décryptage :
Le navire noir comme dans la 600 confirme que nous sommes sur la bonne voie, de la même façon que le blason de Carignan confirmait le bon chemin.
L'alérion, qui est un aigle sans bec (et sans pattes) fait écho au texte décodé dans lequel l'Aigle s'est cassé le bec.
SNDP est célèbre pour sa basilique dédiée à Saint Nicolas, qui est le patron de la Lorraine.
La carte de France à la fin de l'énigme 420 :
Solution de l'énigme :
- La flèche d'Apollon démarre de Golfe-Juan et se plante à Saint-Nicolas-de-Port.
- La lumière de la 470 est confirmée : il s'agit (d'un point sur) l'Autoroute du Soleil.
- Saint-Nicolas le patron de la Lorraine.
Astuce liée à la mesure :
La mesure planétaire.
Cette astuce est enfin maîtrisée à ce stade du jeu.
Nous avons maintenant utilisé Mercure en plus de la Terre.