Hernani et les 3 RV

[zarquos]

Marvinclay a développé des idées originales sur son blog en s'intéressant aux personnages d'Hernani, la pièce de Victor Hugo :
https://marvinclay.blogspot.com/2014/10/...artie.html

Hohenbourg et Lutzelbourg pointent tous les 2 vers Ottrott, la commune où se trouve le Mont Saint-Odile.

Les 3 RV quant à eux peuvent désigner les 3 rencontres historiques qui se sont déroulées sur l'île des Faisans ou île de la Conférence, idée originale de jpl.

Mais on peut aller un cran plus loin puisque Hernani et les 3 RV concernent la même énigme, la 560.

On peut noter que l'action principale de la pièce Hernani se situe en Espagne de février à août 1519.

Quant au Traité des Pyrénées, il a eu lieu le 7 novembre 1659.

La pièce Hernani marque donc l'arrivée au pouvoir de la Maison de Habsbourg, en particulier Charles Quint, alors que le Traité des Pyrénées marque la fin de la Maison de Habsbourg, qui a régné pendant près de 2 siècles.

Je ne serais pas surpris que le nom HABSBOURG ait un rôle important à jouer dans la 560 et / ou dans l'énigme suivante, la 650

[zarquos]

Voici un exemple pour fixer les idées : BERGHEIM
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bergheim

C'est une commune qui a conservé sa double enceinte médiévale, on peut lire "Initialement fortifiée, au début du XIVe siècle, par les Ribeaupierre alors en lutte contre les Habsbourg, Bergheim est rachetée par ces derniers en 1313." => https://fortifications-neuf-brisach.blog...ayant.html

Des tours apparaissent distinctement sur la carte au 1/25000ème :

   

Des tours c'est parfait pour des sentinelles, autant de symboles que de sentinelles sur la carte, ça a un côté militaire sans basculer du côté des entités de la ligne Maginot, ça n'a pas de nom propre individuel la plupart du temps, et c'est haut donc visibilité intéressante.

Par exemple la Tour B :



Ou encore la Tour E :



La 560 se terminerait bien à la nef encalminée, c'est à dire au Mont Sainte-Odile mais se poursuivrait ailleurs dans la 650 grâce à une astuce basée sur l'homonymie, dans la continuité d'Etain, Mercure et Paris.

[Ockham]

La lecture classique de l'IS:LA CLARTÉ VIENDRA DE 3 HABILES RV EN MER CANTABRIQUE consiste à considérer que c'est: De 3 habiles RV en mer cantabrique que vienrda la clarté.
Une LECTURE piegeuse de mon point de vue.
Il suffit pourtant de se replacer dans le contexte de l'énigme 560 qui nous fait chercher l'ouverture qui révèle la lumière celeste.
CLARTE = LUMIERE et la lumière céleste, c'est la clarté du jour.
Donc, cette IS confirme qu'il faut chercher l'ouverture qui permet de voir la lumière céleste (celle du jour à travers l'Ouverture) en précisant, et c'est important, que cette dernière viendra en Mer cantabrique de (son origine) 3 habiles RV.
En mer cantabrique, il existe au terme de la seconde aide de Neptune d'où l'on peut voir au travers de l'ouverture un autre point qui a déjà fait précédemment l'objet de 2 croisements de traits et dont le TANPR finalisera la troisième intérsection en ce point. C'est ce rayonnement de trois croisements en ce point qui nous tire l'œil en 560 par l'ouverture car ilsera bien révélateur de la clarté du jour "planétaire" .
La clarté viendra bien de 3 RV précis filtrant par l'ouverture jusqu'en Mer Cantabrique au  terme de la seconde aide de Neptune.
C'est ma lecture de l'IS: LA clarté viendra de 3 habiles RV en mer cantabrique.
Cordialement,
Ockham.

[Klondike]

De prime abord sans connaître la chasse, cette IS me  fait dire que la solution (clarté), viendra de 3 habiles (3 interventions manuelles précises= 3 tracés précis entre 2 points(RV) ?) RV = Rendez-vous ou /et Rayon-Vert ? 3 Habiles RV (triangle équilatéral ?) + temps clair= Rayon-vert dans le golfe de Gascogne ?
Autre réflexion, on cherche le point d'entrée du rayon lumineux (ouverture) dans le triangle en recomposant la lumière avec les couleurs de l'arc en ciel.

[Galag]

Dans l'IS, c'est explicitement RENDEZ-VOUS et pas RV, je ne pense donc pas qu'on puisse en faire des interprétations comme Rayon Vert.

@Ocham :
Si je comprends bien, tu suggères que les 3 rendez-vous ne sont pas en mer cantabrique mais projettent la lumière vers la mer cantabrique ? Ce n'est pas impossible, mais ce serait, de mon point de vue, imparfaitement rédigé. Il aurait mieux valu écrire "la lumière viendra en mer cantabrique depuis trois rendez-vous".

NB : la lumière céleste, pour moi, ce n'est pas forcément la clarté du jour. C'est plutôt la clarté des étoiles (cf. le Cid).

[Ockham]

@Galag

Parceque tu trouves que les IS de MV sont parfaitement rédigées! 
Venu de l'île d'Elbe, il y débarqua... On ne se pose pas la question de savoir si il aurait été plus correcte d'écrire en provenance ou provenant de l'île d'Elbe il y débarqua. 
Et que dire de "et y laisser ses plumes", n'aurait-il pas été plus correcte d'ecrire "et d'y laisser ses plumes" ? 
Je pense qu'à pinailler autant sur la forme on prend le risque d'oulier le fond. 


Le soleil est une étoile et sa lumière nous apporte la clarté du jour. 
Je n'écarte pas la "clarté" en provenance d'autres étoiles mais je leur trouve une place plus avantageuse en 600.
J'aime bien le fameux oxymore d'Appolinaire: "cette obscure clarté qui tombe des etoiles" et qui résonne assez bien avec  "les ténèbres resplendissent"  de MV. 

Cordialement, 
Ockham.

[Galag]

Pour "y laisser ses plumes", il y a certainement une explication liée aux 100 lettres. Ok, je pinaille, mais si ton interprétation est la bonne il aurait été bien plus clair de mettre "en mer cantabrique" derrière "clarté". Mais je sais qu'être clair n'était pas forcément l'intention majeure de Max.

Dans tous les cas, il me semble que l'on doit comprendre qu'il y a un schéma de ce type :
   
(dans ce sens-là pour moi, et sans doute à inverser pour toi)

Je crois que les deux derniers vers de la 560 le confirment et nous disent ce qu'il faut en faire. En effet, dans le dernier vers, on peut lire RAs PAs CE, c'est-à-dire "rapace". Or les rapaces se distinguent des autres oiseaux par leur bec et leurs serres. Pour le bec, c'est foutu si on en croit la 420, il reste les serres, caractérisées par un pouce en opposition.

On a ainsi trois "rayons" qui convergent (les trois premiers doigts), et un quatrième qui s'éloigne (le pouce), et c'est celui-ci qui correspond à "tire un trait" (sans dévier du pouce).