DIFFICULTE
La 520 est une énigme assez difficile mais ce n’est pas la plus
difficile.
PIEGE
Il y a un piège dans la 520.
ENIGME
La 11ème énigme est d’un genre différent des
autres mais il s’agit bien
d’une véritable énigme et non d’un simple texte de
conclusion.
SOLUTION
Pour décrypter la 520 il faut avoir l’énigme
précédente.
On peut trouver la solution de la 520 à l’issue de la
5ème ligne de
texte (ce qui ne signifie pas que la fin soit inutile).
La 11ème énigme donne la zone, plus exactement on a la
zone à l’issue
de la 11ème énigme.
Quand on a la zone on en est sûr.
Pour avoir la zone il faut avoir entièrement
décrypté les 11 premières
énigmes.
Toutes les énigmes contribuent à la localisation de la
zone mais
certaines ne servent pas à en délimiter les contours.
La 11ème énigme ne nous aide pas à démarrer
la 12ème énigme (même si
elle permet de l’aborder en nous fournissant la zone).
CLEF
DE PASSAGE
Il n’y a pas de clef de passage 11ème énigme ->
12ème énigme ou
alors on peut considérer qu’il s’agit de la zone ou des
reliquats.
TITRE
Le titre concerne un événement présent.
La terre s’ouvre verticalement, par en haut.
Le titre n’a pas de lien direct avec les deux intervalles même si
ça
fait partie de la même énigme.
Le titre est une création de Max Valentin, il ne permet pas de
se faire
une idée de l’endroit où est enterrée la chouette
(même à quelques
centaines de mètres près).
Il faut prendre bonne note du titre.
DEJA
RENCONTRES
On rencontre les eux avant la 520 sous une forme différente,
plus
précisément on rencontre tous les eux dans la même
énigme.
TANGIBLES
Eux sont tangibles (et l’étaient déjà quand on les
a rencontrés pour la
1ère fois).
ILS
Dans la 1ère ligne de texte « eux » et « ils
» désignent la même chose.
ALIGNEMENT
Eux ne sont pas (géographiquement) alignés.
La superposition (ou le chevauchement) des eux n’est pas
considéré
comme un alignement, de plus l’alignement ne peut se faire que sur une
seule ligne.
POSITION
La position (géographique) respective des eux répond
à une certaine
logique, elle est importante pour la suite du jeu.
NATURE
Eux sont de même nature, ce sont des entités, des choses.
Eux sont immobiles et pérennes.
La 1ère phrase du texte ne confirme pas la nature des eux mais
aide à
la confirmer.
Eux ont une caractéristique commune mais n’ont pas strictement
le même
aspect physique.
Eux ne sont pas des lieux.
NOM
Eux ne sont pas nommés à proprement parler dans le jeu,
leur identité
découle des décryptages.
Eux portent le même nom commun.
GENRE
Eux sont du genre masculin, et ce genre est représentatif de ce
qu’ils
sont réellement.
NOMBRE
Eux sont limités en nombre.
Il y a une indication dans le livre quant au nombre de eux, on
connaît
ce nombre quand on a identifié les eux.
FRANCE
Les eux sont français et en France.
TROUVER
Eux ont un rôle important à jouer, il est inutile de se
déplacer pour
les trouver.
Le livre nous donne les moyens de savoir ce que sont les eux, et on
peut être sûr d’avoir les bons.
Il faut procéder par la logique pour trouver les eux et si on a
du mal
Max Valentin conseille de faire un retour en arrière.
Eux ne sont pas vraiment à choisir.
Quand on a identifié les eux on n’en rencontre pas d’autres dans
la 520.
TANGIBLES
Les fils ne sont pas tangibles.
NATURE
Le mot « fils » a un seul sens, il s’agit de ficelles et
non d’enfants.
On pourrait tisser les fils virtuellement.
Les fils ne sont pas assimilables à des traits.
NOMBRE
Les fils sont limités en nombre, il y en a plus de deux.
Le nombre de fils est important, il est donné par les
énigmes
précédentes.
LONGUEUR
La longueur des fils n’a pas d’importance.
TERRAIN
Les fils n’ont rien à voir avec une action à entreprendre
sur le
terrain.
FILS
D’une certaine façon les fils sont du fait des énigmes
précédentes.
Les fils n’ont aucun rapport avec le titre d’une autre énigme.
On peut lier les fils avec les énigmes.
Les fils symbolisent quelque chose (ce n’est pas juste du remplissage).
Quand on a les bonnes solutions il y a un moyen infaillible de prendre
les bons fils.
Les fils ne sont pas équivalents dans tous les sens du terme.
Il y a une sorte de rapport entre les fils et le doute.
Les fils ont un rapport avec le jeu de la 520.
On ne peut pas dire que les fils forment le « tissu »
(trame ou chaîne)
du jeu.
Les fils ne servent pas à refermer la blessure de Dame Nature.
DENOUER
Il faut dénouer tous les fils et il n’y a qu’une seule
façon de le
faire.
Dénouer les fils est une opération qui n’est ni simple ni
courte, ça
n’a rien à voir avec une carte.
Dénouer les fils n’est pas les mettre tous en ordre et il faut
faire
preuve d’esprit.
Dénouer les fils se fait après avoir identifié les
eux, il s’agit de
quelque chose qui est propre au jeu.
Dénouer les fils n’est pas suffisant pour déjouer tous
les pièges.
Dénouer a le sens de défaire un nœud ou défaire la
ficelle d’un paquet
fermé pour l’ouvrir mais on peut le prendre dans l’acceptation
d’éclaircir, de résoudre.
Les fils étaient emmêlés au départ, et par
un seul nœud.
A la 3ème ligne de texte les fils sont dénoués et
on sait de quels fils
il s’agit.
En arrivant dans la 520 les fils ne sont pas dénoués mais
à la 2ème
ligne de texte ils le sont.
« Maintenant que tu as dénoué tous les fils »
ne s’utilise qu’une seule
fois sous cette forme mais sa signification n’est pas originale et
unique dans le jeu (sons sens général peut avoir
été rencontré
auparavant et peut être réutilisé ailleurs).
CONCOMITANTS
Le doute et le supplice sont concomitants.
DOUTE
& SUPPLICE
S'il y a doute dans la 520 c'est qu'à un moment du jeu nos
résultats
semblent corrects à un petit détail près.
Le doute est celui du chercheur, il n'est pas créé par le
fait de
devoir trouver seul où porter sa pelle.
Le doute n'est provoqué ni par le chercheur ni par Max Valentin,
il
provient en partie des eux.
Le doute s'impose automatiquement à nous et il faut le dissiper.
Le doute est propre à la 520, il a une durée de vie qui
dépend de notre
sagacité.
Le doute est synonyme d'hésitation, d'incertitude.
Le doute vient après avoir dénoué les fils et
avant de trouver où
porter sa pelle.
Quand le doute intervient on est encore dans son fauteuil.
Le doute est le dernier supplice qui nous est infligé
(infligé une
seule fois et seulement au chercheur).
Le supplice n’est pas de nature physique.
Il ne s’agit pas d’un doute quant au choix de la bonne zone (le doute
ne vient pas de la nature de la zone).
D'une certaine façon le doute va nous aiguiller dans la bonne
direction.
Le doute est unique.
Le doute est-il une clé majeure ? Le doute est d'une autre
nature.
Le doute peut être quantifié mais il n'est pas
matérialisable au sens
strict du terme.
Le doute est plus qu'un simple choix binaire.
Le doute peut être compris comme l'hésitation entre
plusieurs choix et
mettre fin au doute consiste à faire un choix parmi un nombre
fini et
précis de choix.
Si on lève le doute on trouvera tout ce qu'il y
a à trouver dans les 11 énigmes (et aussi dans la
12ème par la force
des choses).
ENIGMES
Dame Nature est propre à la 520 et ne concerne pas les
énigmes
précédentes.
TANGIBLE
Dame Nature est tangible si on considère ce qu’elle
représente et
intangible si on considère le concept général.
DAME
NATURE
L’expression « Dame Nature » n’est pas de Max Valentin
(c’est à nous de
trouver pourquoi il l’a utilisée).
Dame Nature est importante, elle a une signification précise et
unique
dans le jeu.
D’une certaine façon Dame Nature est symbolique et on peut dire
qu’elle
est éternelle.
Dame Nature n’est pas lumineuse et ce n’est pas une fée.
Dame Nature n’a rien à voir avec le doute de la 520.
Dame Nature est différente de la vérité.
Dame Nature est la seule à laquelle nous devons montrer notre
respect,
et il n’y a qu’une seule façon de le faire.
On peut connaître l’identité ou la nature de Dame Nature
depuis son
fauteuil.
INTERVALLES
Le mot « intervalle » doit être pris dans son
acceptation géographique
du terme : « espace entre ».
Les deux intervalles s’appliquent seulement à eux.
Que les deux intervalles soient égaux ou pas n’a pas
d’importance
puisqu’il s’agit d’une hypothèse théorique (en
réalité il n’y a pas
deux intervalles et on connaît le véritable nombre
d’intervalles quand
on a identifié les eux).
Il y a deux intervalles dans tous les cas possibles.
Les intervalles sont propres à la 520 mais on les a
rencontrés avant
par la force des choses (puisqu’on a rencontré les eux avant la
520).
Les intervalles s’appliquent à tous les eux en même temps
et non pas
séparément.
Les intervalles sont mesurables mais on ne sait pas si c’est important
pour le jeu.
Le nombre d’intervalles n’est pas variable.
Le nombre d’intervalles ne nous aide pas à compter les fils.
PREMIERE
PHRASE
La 1ère phrase est un pur problème de raisonnement, elle
concerne la
520.
Il s’agit d’une hypothèse fausse qui doit permettre de trouver
la bonne.
La 1ère phrase a son importance, si l’énigme parle
d’alignement ce
n’est pas sans raison.
La 1ère phrase ne permet pas de comprendre le doute.
JEU
On doit comprendre le jeu de la 520.
Le jeu est propre à la chasse, on ne peut pas le rencontrer
ailleurs.
Le jeu de la 520 ou des éléments de ce jeu ont
été rencontrés avant
d’aborder cette énigme.
D’une certaine manière on peut dire que le jeu se déroule
en plusieurs
parties.
Le jeu est essentiellement interne à la 520 mais d’une certaine
façon
il désigne aussi la chasse.
Il ne s’agit pas d’un jeu bien précis mais d’une allusion
à ce qui
précède, c’est à prendre dans son acceptation
habituelle.
On ne peut pas désigner le jeu de la 520 par un nom de jeu (jeu
de
l’oie, 421, poker, …).
DEUXIEME
PHRASE
Le jeu de la 520 serait plus facile si les eux étaient
alignés.
Le terme « là » ne désigne pas un lieu (il
fait référence à la
situation décrite dans la phrase).
La 2ème phrase est une remarque, elle signifie que les choses
à ce
stade seraient trop simples si elles étaient comme il semble
qu’elles
soient.
REGLE
La règle du jeu est importante, elle s’applique à tous
les éléments de
cette partie cruelle.
La règle doit être respectée de la manière
la plus stricte, il n’y a
pas vraiment d’écart possible.
D’une certaine façon la règle de cette partie cruelle est
de nous
inciter à trouver comment porter notre pelle.
La règle n’a aucun rapport avec celle du visuel de la 500.
L’acceptation du mot « règle » est-elle 1)
l’instrument de dessin 2)
une contrainte à respecter 3) les deux à la fois 4) autre
chose ? 2.
La phrase « Car c’est la règle … » se
réfère à la ligne précédente
(relative au doute).
PARTIE
CRUELLE
Ce n’est pas le sens de la phrase « Car c’est la règle …
» qui est le
plus important, elle est plutôt symbolique et concerne l’ensemble
du
jeu.
La partie cruelle fait référence à la chasse.
La partie cruelle concerne ce qu’il y a dans le livre, rien d’autre.
La partie cruelle et le supplice c’est la même chose ? Oui et non.
La partie est différente du jeu de la 520.
Ce qui est cruel dans la partie ce n’est ni la solitude ni le poids de
la pelle.
SEUL
Max Valentin emploie le terme « seul » car il s’adresse
à un lecteur à
la fois, c’est une façon de lui dire « à partir de
maintenant,
débrouille-toi tout seul ».
Il n’est pas indispensable d’être seul
pour trouver où porter sa pelle mais si ce mot est
présent ce n’est pas
sans raison, il a une certaine importance.
Le mot « seul » n’est
pas devenu obsolète après que Max Valentin ait
confirmé l’existence de
la supersolution et des reliquats, il est toujours d’actualité.
Il n’y a pas de piège dans le mot « seul », il
signifie « isolé », «
dépourvu de compagnie », …
PORTER
TA PELLE
« Porter sa pelle » signifie « creuser un trou
».
On ne porte sa pelle qu’une seule fois.
La pelle ne désigne que l’instrument pour creuser.
MONTRE
TON RESPECT
Le mot « respect » est à prendre dans son sens
classique.
« Montre ton respect » et « referme sa blessure
» ne veulent pas dire
la même chose mais il s’agit d’une seule et même action
(dans la
continuité l’une de l’autre).
C’est la blessure qui va nous
permettre de montrer notre respect (on connaît la cause de la
blessure
avant de montrer son respect).
« Montre ton respect » est un conseil (immédiat ou
pour plus tard).
AVANT
DE T’ELOIGNER
On referme la blessure avant de s’éloigner.
L’action de refermer la blessure ne permet pas de considérer
comment et
jusqu’où on doit s’éloigner (la question ne se pose pas
en ces termes).
On s’éloigne de là où on se trouve.
BLESSURE
Il est important de refermer la blessure de Dame Nature (après
l’avoir
ouverte).
La blessure n’est pas lumineuse et n’a pas de rapport direct avec la
flèche d’Apollon.
La blessure est propre à la 520.
La blessure n’est pas une véritable blessure et elle est
légère (de
taille réduite).
D’une certaine façon on est responsable de la blessure de Dame
Nature.
Quand on a résolu la 520 il est facile de comprendre ce qui a
provoqué
la blessure (sous réserve de confirmation).
TEXTE
Max Valentin a planché sur le texte de la 520 autant que sur la
plupart
des autres énigmes.
La ponctuation du texte n’a pas d’importance.
Toutes les phrases de la 520 sont utiles mais elles n’ont pas toutes la
même importance.
Les dernières phrases de la 520 donnent un conseil
écologique (mais
peut-être pas seulement).
Si Max Valentin avait précisé dès le début
du jeu qu’il y avait une
12ème énigme, il n’aurait pas changé le texte de
la 520.
La 520 n’annonce pas qu’il faut chercher des reliquats mais d’une
certaine façon elle y fait allusion.
NOM
La zone ne porte pas de nom (mais à l’intérieur de la
zone certains
endroits ont des noms).
FORME
La zone n’existe pas en dehors du jeu.
La zone n’a pas été tracée par la main de l’homme.
La forme de la zone n’a aucune importance.
La zone n’a pas de forme géométrique
régulière (carré, rectangle,
triangle, cercle, …), elle est patatoïdale (polygone
irrégulier).
La zone a des limites qui ne sont pas naturelles et qui sont
matérialisées par des traits, ainsi la zone peut
légèrement fluctuer
d’un chercheur à un autre en fonction de la précision des
tracés.
La zone peut légèrement fluctuer d’un chercheur a un
autre : est-ce que
la zone est toujours au même endroit et c’est sa forme qui varie
ou
bien a-t-elle toujours la même forme et c’est son emplacement qui
varie
? Très bonne question mais si je répondais je
révèlerais un détail que
je ne veux pas dévoiler.
Il n’est pas nécessaire de délimiter la zone,
l’identifier suffit.
On obtient la zone « d’une certaine façon » et on
peut ensuite tracer
ses limites sur la 1ère carte.
On trouve les différents points délimitant la zone dans
un certain
ordre.
La zone est localisée grâce aux tracés faits
pendant les décryptages.
La forme de la zone aurait pu être différente mais dans ce
cas
certaines énigmes auraient été elles-mêmes
différentes.
La zone peut s’apparenter à un gros point sur la 1ère
carte.
Les limites de la zone sont précisées sur la 2ème
carte.
Certains éléments servant à déterminer la
zone se retrouvent sur la
2ème carte.
La zone n’est pas matérialisée sur la 2ème carte.
On doit reporter la zone sur la 2ème carte mais il n’est pas
indispensable de la tracer.
TAILLE
La zone est de la taille d’une ville moyenne (elle est plus grande
qu’un petit bourg et moins étendue qu’une grande
métropole).
Quelques exemples de ville moyenne : Vendôme, Sedan, Grasse,
Auch,
Avignon, Béziers, Cahors (entre 30000 et 100000 habitants
environ).
La zone n’a pas de taille précise et définie, elle varie
légèrement
d’un chercheur à un autre.
MILIEU
La zone figure entièrement sur la 2ème carte.
La zone est à peu près au milieu de la 2ème carte
(la carte de
référence est celle de 1993).
CACHE
La cache de la chouette se trouve à l’intérieur de la
zone.
EN
FRANCE
La zone est en France.
La zone n’est pas sur une île et elle n’est pas à cheval
sur une
frontière (elle est entièrement en France).
PROSPECTER
On ne peut pas trouver la chouette en ayant seulement la zone car
ça
fait une surface trop importante à prospecter, il faut aussi la
supersolution.
UNIQUE
La zone est unique.
Il n’y a pas de pré-zone avant la zone.
TERME
Le terme « zone » n’est pas important, il désigne
simplement la région
dans laquelle est enterrée la chouette.
ENTREE
A la fin de la 11ème énigme on se trouve dans la zone, la
façon d’y
entrer n’a pas d’importance (il n’y a pas d’entrée à
proprement parler).
ALLUSION
Il n’y a pas dans le livre d’allusion à la zone, à
l’exception d’un
petit indice caché dans une énigme par Max Valentin mais
qu’il est
inutile de chercher (il s’agit en fait d’un « private joke
»).
TOURISME
La zone est chargée d’histoire et présente une
particularité (comme la
plupart des régions).
Il y a probablement des touristes qui passent dans la zone.
PLUS
BESOIN
En principe quand on a trouvé la zone on n’a plus besoin du
livre et de
la 1ère carte (si tout a été fait « dans les
règles de l’art »).
CHERCHEURS
Les chercheurs ont trouvé de nombreuses fausses zones.
La vraie zone a été foulée par des chercheurs en
1994 (volontairement
ou par hasard).
ZONE
Il n’y a qu’une seule façon de trouver la zone.
La zone n’est pas confirmée par une autre énigme.
La zone en elle-même ne sert à rien de particulier si ce
n’est de nous
indiquer que c’est là qu’il faut chercher.
La manière dont on trouve la zone fournit un renseignement
précieux.
C’est le chercheur qui doit être sur la zone à l’issue de
la 11ème
énigme et non le piéton de la 780.
La zone est à considérer comme une aire / une surface
plutôt que comme
un volume.
La zone n’a pas de rapport avec Max Valentin ou avec Noé.
La zone n’est pas un reliquat (ou une sorte de reliquat).
Il y a des propriétés privées dans la zone mais ce
n’est pas important.
Il ne pouvait y avoir aucun changement dans la zone avant 1998.
CACHE
Le visuel ne représente pas la cache (aucun visuel ne
représente la
cache).
SYMBOLIQUE
Le visuel est symbolique (plus symbolique que descriptif).
CIEL
La tache bleue en haut du visuel représente le ciel et non pas
de l’eau.
HERBES
Il y a des herbes folles sur le visuel mais leur nature n’a pas
d’importance.
Les herbes sont normales, et leur taille n’a pas d’importance.
Les herbes ne brûlent pas.
Les herbes n’ont pas de lien direct avec la cache, il ne sert à
rien de
les compter.
Il y a un lien très ténu entre les herbes de la 520 et
celles de la 500
que l’on peut trouver avant de déterrer la chouette mais cela ne
nous
aidera pas.
Les herbes ont un rôle minuscule à jouer (tellement
minuscule qu’on
peut l’ignorer sans nuire aux solutions finales).
VISUEL
La lueur sur le visuel a son importance, elle est symbolique (mais ce
n’est ni un soleil levant ou couchant ni la lune).
Le visuel est assez précis pour en faire ce qu’il faut en faire.
Le moment de la journée n’a pas d’importance.