SOLUTION
La solution de la 420 est « utilisable » et logique.
On peut être pleinement satisfait du décryptage de
l’énigme quand on a
identifié avec précision la localisation de la chute de
la flèche
d’Apollon.
ENIGME
Il faut être plein de bon sens pour résoudre la 420.
Un individu ayant au moins passé le cap du secondaire dispose en
principe de tous les moyens pour venir à bout de la 420.
Il faut posséder la mesure pour pouvoir décrypter la 420.
Les indications données en 420 sont assez précises.
L’époque de l’année n’a pas d’importance en 420.
CLEF
DE PASSAGE
Le lien entre la 8ème et la 9ème énigme (clef de
passage 420 -> 560)
est assez évident.
TITRE
Le titre est important dans la détermination de la nature de la
lumière.
Il n’y a pas de différence entre « la lumière vient
du ciel » et « du
ciel vient la lumière ».
LA EN 650
« Là » en 420 et « là » en 650 ne
désignent pas le même lieu.
MEME LA
« Là » dans la partie cryptée du texte et
« là » dans « de là, il
comptera … » correspondent au même lieu.
Y
« Y
» dans la partie cryptée du texte désigne un lieu
différent de « là »
(en fait « y » est plutôt un pronom adverbial qu’un
adverbe de lieu).
LA
« Là » désigne une position
géographique, c’est l’endroit où l’on se
trouve à ce moment précis du jeu.
« Là » est le point de départ de la
flèche d’Apollon, il conditionne
son trajet.
« Là » est un lieu précis, il ne permet pas
d’hésiter, ne serait-ce que
de 3 ou 4 mm.
On trouve « là » dans la 420 et pas avant.
La 420 est suffisante pour trouver « là ».
TRAIT
= FLECHE
Dans la 420 on a trait = flèche.
NATURE
La flèche de la 420 est une flèche classique, mais comme
il s’agit de
la flèche d’un dieu elle a quelques propriétés
supplémentaires, par
exemple elle peut traverser n’importe quel obstacle physique.
La flèche d’Apollon n’est pas enflammée (elle ne peut
donc pas
s’éteindre).
La flèche d’Apollon est complète.
TANGIBLE
La flèche d’Apollon n’est pas tangible.
UNIQUE
Il n’y a qu’une seule flèche en 420 (celle d’Apollon).
LONGUEUR
La longueur de la flèche d’Apollon (projectile) n’a pas
d’importance.
La longueur de la flèche d’Apollon (projectile) est plus petite
que le
trajet qu’elle effectue.
La longueur de la flèche d’Apollon (trait) est connue et
confirmée,
elle nous fait trouver un seul lieu.
VITESSE
Il y a tout ce qu’il faut dans la 420 pour traiter la vitesse de la
flèche d’Apollon, et s’il y avait hésitation elle ne
devrait pas être
de longue durée, ne serait-ce qu’en comparant la bonne et la
mauvaise
solution.
La vitesse de la flèche d’Apollon est constante du départ
à l’arrivée.
TRAJECTOIRE
On dispose de tous les éléments nécessaires en 420
pour venir à bout de
l’énigme (et notamment pour déterminer la trajectoire de
la flèche
d’Apollon).
La chasse est un jeu ouverts à tous et non pas un
exercice scientifique, ainsi en 420 il ne faut pas tenir compte de la
courbure de la terre.
Les montagnes qui pourraient se trouver sur le trajet de la
flèche
d’Apollon (entre le départ et l’arrivée) sont à
ignorer.
La flèche d’Apollon vole dans l’espace, elle monte et redescend
comme
n’importe quelle flèche en obéissant aux lois de la
balistique.
La
trajectoire de la flèche est donc courbe dans l’espace mais il
ne faut
pas en tenir compte (les lois de la balistique sont à ignorer).
Le
terrain de jeu en 420 est une carte en 2 dimensions : dans ce
référentiel le trajet de la flèche est rectiligne
(sans zigzags).
La courbe dans l’espace se traduit donc par une ligne droite sur la
carte (la flèche d’Apollon est une droite / une ligne).
Tout ce qu’on doit retenir de la flèche d’Apollon c’est ce qu’on
peut
en savoir en étant au-dessus : elle va d’un point A à un
point B en
ligne droite (non brisée).
On doit oublier que la flèche
instrumente dans la 3ème dimension (il n’y a pas de tracé
courbe à
déterminer) : pour trouver le point d’arrivée on doit
faire comme si la
trajectoire était rectiligne, sans s’occuper de la trajectoire
qu’aurait une flèche normale.
La flèche d’Apollon a toujours la même trajectoire (elle a
toujours le
même sens et la même direction).
La flèche d’Apollon survole des obstacles de plus de 1969,697
mesures
avant de s’abattre.
La trajectoire et la longueur de la flèche sont indissociables.
TRAIT
Le trait s’abat en 420 : il ne s’abat qu’une seule fois et pas à
partir
de « là ».
« Son trait s’abattra » signifie que la flèche
d’Apollon, après être
montée, redescend et se plante quelque part.
On ne peut pas trouver la flèche avant de savoir où le
trait s’est
abattu.
Le trait démarre de « là » et se termine
à la cible, il faut le tracer.
« Tirer un trait » et « son trait s’abattra »
sont deux choses
différentes.
On ne peut pas tirer le trait avant que la flèche soit partie.
Il n’est pas utile de prolonger la flèche d’Apollon
au-delà de son
impact.
TROUVER
On doit trouver la flèche d’Apollon à la fin de la 420
(après que le
trait d’Apollon se soit abattu).
Trouver la flèche n’est pas exclusif d’autre chose.
Il ne s’agit pas de trouver « physiquement » la
flèche.
Quand on a le bon point de départ, la bonne façon
d’utiliser la
fraction de jour sidéral, la bonne mesure vers le zénith
et en tenant
compte de l’IS TDF du 15 juillet, on a à peu près tout ce
qu’il faut
pour trouver la flèche d’Apollon.
On ne peut pas trouver la flèche d’Apollon en faisant
abstraction de la
valeur de la mesure.
On doit être en mesure de déterminer le point de chute de
la flèche
d’Apollon (c’est de cette façon qu’on trouve la flèche
puisqu’elle
n’est pas tangible).
HATE-TOI
« Hâte-toi de trouver la flèche » fait
référence à ce qui précède
directement.
On peut comprendre comment se hâter en 420 sans faire appel aux
énigmes
précédentes.
Il faut se hâter par le chemin le plus court et le moyen le plus
rapide.
Il faut se hâter de trouver la flèche d’Apollon parce que
c’est dans
notre intérêt (ce n’est peut-être pas une «
raison importante », mais
ça en vaut quand même la peine).
D’une certaine façon on peut dire qu’on aura du mal à
trouver la flèche
d’Apollon si on ne se hâte pas.
Il faut se hâter de trouver la flèche d’Apollon à
l’endroit où elle
s’abattra (après qu’elle ait atteint son but).
Au moment où il faut se hâter de trouver la flèche
on se trouve « là ».
« Se hâter » signifie « se
dépêcher » (ne pas perdre de temps), il n’y
a pas de piège là-dedans.
« Se hâter » n’est pas à comprendre dans le
sens de « se déplacer
rapidement », et cette expression ne signifie pas non plus que la
flèche se trouve petit à petit.
Se hâter concerne le fait de trouver la flèche, mais elle
ne risque pas
de disparaître.
La flèche ne redécollera pas si on ne se hâte pas
(elle n’est pas en
transit), et si on a mis du temps pour la trouver ce n’est pas
gênant.
Le fait de se hâter dans la 420 n’annonce pas quelque chose qui
risquerait de changer (cette « urgence » n’est pas
liée au fait qu’on
pourrait louper quelque chose).
On ne se hâte pas de trouver la flèche au même titre
qu’il faudrait se
dépêcher de trouver la 470 par exemple.
Se hâter n’est pas un conseil pour notre sécurité
(il n’y a aucun
danger dans le jeu).
« Hâte-toi » dans la 420 a la même
signification que « ne t’attarde pas
» dans la 560.
On n’a pas besoin d’Apollon dans sa hâte.
IMPORTANCE
La flèche est importante, il faut la trouver.
TERME
En 560 le terme « nef encalminée » ne suffit pas
à trouver ce que cela
représente mais ça aide à le trouver et à
en avoir confirmation, d’une
certaine façon on peut dire la même chose pour le terme
« flèche » en
420.
UTILISATION
En 420 on sait quoi faire de la flèche d’Apollon.
La flèche, après en avoir fait ce qu’on doit en faire,
donne un lieu
(et un seul).
On ne peut ramasser la flèche d’Apollon là où elle
tombe et la
réutiliser.
CONFIRME
La flèche d’Apollon confirme quelque chose.
FLECHE
D’APOLLON
La flèche d’Apollon est décochée en 420, elle se
plante (virtuellement)
dans le sol à l’endroit prévu.
La flèche d’Apollon ne continue pas sa route après avoir
atteint sa
cible (point visé à 1969,697 mesures), et elle ne
rebondit / ne ricoche
pas.
La flèche d’Apollon ne vise pas le cœur.
Il n’y a pas de rapport en la flèche d’Apollon et la blessure de
Dame
Nature.
La flèche d’Apollon ne tombe pas sur la cache de la chouette.
La flèche d’Apollon ne peut tuer personne.
IMPORTANCE
Le lieu où se plante la flèche d’Apollon (cible) est
important.
Une fois son point de chute identifié, on peut jeter la
flèche
d’Apollon aux oubliettes.
TANGIBLE
La cible est tangible.
IMMOBILE
La cible est immobile.
PAS
ANODIN
La cible n’est pas un lieu anodin.
Un habitant du coin ne serait pas plus avantagé qu’un autre
chercheur
n’y habitant pas.
TAILLE
L’impact de la flèche d’Apollon est aussi précis que son
point de
départ.
L’impact de la flèche d’Apollon n’a pas la taille d’une ville
moyenne.
La cible est un endroit bien déterminé.
Après avoir trouvé la cible il n’est pas
nécessaire de se livrer à une
localisation plus précise.
CARTE
La cible figure sur la 1ère carte.
EN
FRANCE
La cible est en France.
UNIQUE
La cible est unique.
La cible est la seule possibilité offerte par le
décryptage.
CIBLE
La cible est ce que vise Apollon, elle est différente de «
là ».
On découvre la cible en 420 (mais on ne sait pas si on l’a
déjà
rencontrée avant).
Le point de chute d’un projectile est le point où sa course
prend fin
et non pas le point de sa course où il cesse de monter pour
retomber
vers le sol.
La cible ne pourrait pas renvoyer la flèche d’Apollon (vers
l’expéditeur).
CENT
« CENT » non codé dans le texte est un petit coup de
pouce de Max
Valentin (une petite aide / un clin d’œil).
Ce petit coup de pouce intervient au moment du décodage du texte
(mais
on ne sait pas s’il intervient aussi plus tard).
ARC
L’arc n’est pas tangible, c’est une image.
L’arc désigne l’arme servant à envoyer des flèches
(mais on ne sait pas
s’il a une autre signification).
Dans la chasse, le mot « arc » désigne quelque chose
de très précis.
On doit prêter un arc à Apollon, il a déjà
la flèche (mais ce n’est pas
important).
N’importe quel « bon » arc fera l’affaire.
Nous avons un arc (et un seul) en notre possession à
prêter à Apollon
(il dispose de cet arc comme il l’entend et il s’en sert de la
manière
expliquée dans l’énoncé de l’énigme).
Apollon a besoin d’un arc pour décocher sa flèche, et il
utilise l’arc
qu’on lui prête tel quel.
On sait quel arc prêter à Apollon.
On ne peut prêter un arc qu’à Apollon car c’est lui qui
doit tirer la
flèche et personne d’autre.
Le prêt de l’arc à Apollon se fait « là
».
Le prêt de l’arc à Apollon est une licence poétique.
Apollon garde l’arc qu’on lui prête mais ça n’a pas
d’importance.
L’arc qu’on prête à Apollon n’a pas été
utilisé avant.
Nous n’avons pas à utiliser d’arc dans la 420.
L’arc ne ressert pas par la suite.
La spirale ne nous aide pas à prêter un arc à
Apollon.
La flèche d’Apollon ne s’abat pas sur l’arc qu’on lui a
prêté.
APOLLON
Le but d’Apollon est de nous aider.
Apollon est un dieu donc rien ne lui est impossible, il fait ce qu’il
veut et tout lui réussit.
Néanmoins Apollon décoche ses flèches comme
n’importe qui (il tire sa
flèche de manière académique).
Apollon est un bon archer.
Apollon connaît par avance le point de chute de sa flèche.
Si on a correctement décrypté les énigmes, on sait
ce que vise Apollon.
Apollon attend qu’on retrouve sa flèche après l’avoir
tirée, et il ne
servirait à rien de lui emprunter.
Max Valentin a utilisé Apollon car il avait une idée
précise en tête.
Il faut identifier Apollon (il n’y a pas de piège).
Apollon n’est pas tangible (on ne peut pas toucher Apollon, que ce soit
une statue ou un site consacré).
Apollon ne se déplace pas dans la 420.
Apollon ne peut pas se trouver à 2 endroits à la fois
dans la 420.
On ne peut pas compter sur Apollon pour porter son premier coup de
pelle (via une méthode).
Max Valentin ne peut pas expliquer pourquoi il a fait appel à la
mythologie en 420 et en 560 car ce serait donner la solution.
COMPTAGE
DES MESURES
Il est important que ce soit Apollon qui compte le nombre de mesures.
Le comptage des mesures est consécutif au prêt de l’arc.
Apollon compte juste avant de tirer sa flèche (action
indispensable
pour que la flèche tombe au bon endroit).
Apollon compte les mesures à partir de « là »
(« là » est le point zéro
des mesures), plus de précision n’est pas nécessaire.
Apollon ne bouge pas quand il compte les mesures.
En comptant 1969,697 mesures, Apollon veut attirer notre attention sur
un point précis et indispensable (s’il ne comptait pas on n’en
saurait
rien et il nous manquerait une info pour décrypter les
énigmes).
Apollon ne se sert pas de quelque chose de précis pour compter
ses
mesures vers le zénith, il se sert uniquement de la valeur de la
mesure
que l’on doit connaître pour faire comme lui (Apollon compte ses
mesures comme on doit le faire et inversement).
Il faut compter 1969,697 mesures vers le zénith en une seule
fois.
Compter « vers » le zénith est équivalent
à compter « en direction » du
zénith.
Il faut connaître la mesure pour utiliser correctement la
flèche
d’Apollon.
TIR DE LA
FLECHE
Apollon reste « là » (les pieds au sol) pour tirer
sa flèche : il
compte les mesures, lève son arc vers le ciel et décoche
sa flèche.
La position d’Apollon quand il tire sa flèche (debout, un genou
au sol,
…) n’a pas d’importance.
Apollon ne modifie pas la direction de son tir après avoir
visé
1969,697 mesures vers le zénith, il tire tout droit.
C’est Apollon qui décoche la flèche en 420 et personne
d’autre.
Apollon ne tire qu’une flèche dans tout le jeu.
Apollon ne peut pas tirer une fois et atteindre plusieurs cibles.
Apollon ne peut pas envoyer plusieurs fois la même flèche
sur des
trajets différents.
Apollon ne peut pas tirer sa flèche sur lui-même (il n’est
pas la cible
atteinte par la flèche).
Apollon ne peut pas remonter le cours du temps en tirant sa
flèche.
Apollon tire son trait dans la 420, il initie un travail qu’il faut
compléter (et qui ne relève pas de la tradition).
1969,697
MESURES
La multiplication de 1969,697 par la mesure donne un nombre (qui tombe
juste).
1969,697 mesures sont très précises.
Une calculette doit suffire à comprendre pourquoi 1969,697 est
très
précis.
1969,697 n’est pas trop précis en regard de la nature de ce qui
est
mesuré.
1969,697 doit être lu « mille neuf cent soixante neuf
virgule six cent
quatre vingt dix sept ».
1969,697 mesures sont aussi importantes au lancement qu’à
l’arrivée.
La 1969,697ème mesure ne touche pas le zénith.
On ne peut pas lire les 1969,697 mesures sur la 1ère carte.
Mesurer vers le zénith et trouver la flèche sont 2 choses
liées.
Avec 1969,697 mesures comme seule info, on a une chance (infime) de
trouver la flèche si on a la bonne mesure.
ZENITH
Dans le cadre du jeu, le mot « zénith » n’a qu’une
seule acceptation,
et il s’agit de son acceptation littéraire habituelle (il n’y a
pas de
piège).
Le zénith signifie « direction verticale ascendante
», ou dans
l’acceptation commune « en l’air », « très
haut ».
Ce n’est pas le zénith qui est important mais plutôt ce
qui vient après.
Aucun objet qu’on pourrait porter sur nous ne peut nous aider à
trouver
le zénith.
Le zénith n’est pas une ville.
Le zénith n’a aucun lien avec d’autres énigmes.
Si Apollon visait exactement le zénith, il aurait toutes les
chances de
se prendre la flèche sur la tête.
« Vers le zénith » est moins précis que
« au zénith ».
JOUR
SIDERAL
La mesure du temps a un rôle à jouer dans la 420.
Le jour sidéral est terrestre (la majorité des ouvrages
donnent la
bonne valeur).
Les « . » dans 46.241.860 sont des séparateurs de
milliers.
L’expression « 46.241.680ème fraction » se lit
« quarante six million
deux cent quarante et un mille huit cent soixantième fraction
».
Il faut prendre le mot « fraction » dans son sens
littéraire : «
portion ».
La fraction de jour sidéral résulte d’un calcul, il y a
une raison à
l’assez grande précision suggérée par la 420
(assez précise pour en
faire ce qu’on doit en faire).
Il faut utiliser la fraction dans la 420.
AIGLE
« L’aigle » est une expression usitée dont Max
Valentin n’est pas
l’auteur.
L’aigle ne désigne pas un oiseau et ça ne pourrait pas
être un griffon.
L’aigle se trouve là où Apollon tire sa flèche.
TEXTE
La seconde partie du texte emploie le futur, il s’agit d’un futur
immédiat.
Dans « il comptera », « il » désigne
Apollon.
Le « V » de « AVANT » dans la partie
cryptée du texte n’est pas codé :
il n’avait peut-être pas besoin de l’être et Max Valentin
précise qu’il
ne peut rien dire sans dévoiler une méthode de
décryptage.
COMPAS
Le compas a une signification unique.
Le compas est symbolique, sa forme n’est pas vraiment importante mais
ce qu’il suggère l’est.
L’écartement du compas n’a pas d’importance (l’angle du compas
n’est
pas à mesurer).
Le compas du visuel est un compas à pointes sèches, il
sert à mesurer
la distance entre 2 points et non à tracer des cercles.
La position de l’ensemble compas + lettre N a de l’importance.
N
La lettre en haut à gauche du visuel est un « N »,
il a une
signification unique.
Les 2 N figurant dans les visuels 780 et 420 ne représentent pas
la
même chose.
SYMBOLES
(PLANETES)
La position plus ou moins penchée des symboles sur le visuel n’a
pas
d’importance.
Les symboles sont présentés tels qu’ils sont sur le
visuel dans un
grand nombre d’ouvrage (mais la présentation n’a pas en soi une
importance particulière).
Les symboles sont utiles.
Les symboles n’ont rien à voir avec une (partie de) spirale.
Le nombre de planètes est important.
TACHE
SOMBRE
La tache sombre relève du domaine du concret mais sans
importance
déterminante sur les solutions, il suffit de « comprendre
».
La tache sombre est de couleur noire.
La tache sombre n’a pas d’importance pour le décryptage, elle
est
simplement nécessaire à la cohérence du visuel.
Il n’y a pas d’éclipse (ou une sorte d’éclipse) sur le
visuel.
VISUEL
Le visuel a une dimension symbolique.
Le personnage qui regarde à travers le fond d’une bouteille sur
le
visuel est une coïncidence.
Les tracés et les formes arrondies du visuel ne sont pas
destinés à
donner une impression de très grande vitesse.
L’heure du jour n’a pas de rôle à jouer.
Il ne manque rien sur le visuel.